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Axe : Reproduction, Physiopathologie et cancer

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Les communications endocrines et paracrines permettent aux organes spécialisés et aux cellules individuelles d’exercer de manière coordonnée leurs activités dans un organisme intact. Ces signaux assurent le maintien de l’homéostasie corporelle et de l’intégrité cellulaire malgré les variations des conditions environnementales et de l’état nutritionnel. Une stimulation anormale de récepteurs spécifiques ou des dysfonctionnements des voies de transduction en aval qui relaient les signaux hormonaux, métaboliques ou paracrines conduisent à des maladies métaboliques/endocriniennes et/ou peuvent prédisposer aux cancers. Le cœur de notre stratégie scientifique est le développement de nouveaux modèles animauxafin i) de démêler les voies de signalisation impliquées dans le développement normal et ii) de décrypter les processus impliqués dans l’initiation et la progression tumorale (prostate, surrénale, gonades) ainsi que dans la mise en place de troubles métaboliques et endocriniens (hypofonction testiculaire, dysfonctionnement surrénalien, altération de la spermatogenèse, pathologies ovariennes). Notre objectif est ainsi d’identifier de nouveaux marqueurs de diagnostic et de pronostic ainsi que de nouvelles cibles pharmacologiques. Ceci est rendu possible par des interconnexions avec plusieurs départements cliniques. Nos recherches portent sur des approches génétiques, histochimiques, biochimiques, moléculaires et génomiques utilisant des modèles animaux génétiquement modifiés et des collections d’échantillons de patients.

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